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Catégories : A lire, CE QUE J'AIME/QUI M'INTERESSE, Les polars

Erik Axl Sund : « Nous écrivons sur des choses qui nous révoltent ou qui nous terrorisent »

 

LE MONDE DES LIVRES | 22.05.2014 à 09h29 • Mis à jour le 22.05.2014 à 19h44 | Propos recueillis par Olivier Truc (Stockholm, correspondance)

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Hakan Axlander Sundquist et Jerker Eriksson se connaissent depuis plus d’une dizaine d’années. Ensemble, sous le nom d’Erik Axl Sund, ils ont écrit la trilogie « Les Visages de Victoria Bergman », dont le troisième tome, Catharsis, vient de paraître en France, quatre mois après le deuxième, Trauma. L’ensemble, très sombre, présenté comme le « nouveau Millenium », met en scène une jeune femme souffrant d’un dédoublement de la personnalité, ainsi qu’une psy et un flic.

Depuis un an et demi, les deux amis écrivent à temps plein, dans une galerie qui leur sert de bureau commun. Ils habitent à trois minutes l’un de l’autre, sur Södermalm, l’une des îles qui constituent Stockholm, où ils ne fréquentent guère que Maj Sjöwall, grande figure du polar nordique depuis les années 1970 : elle forma, elle aussi, un fameux duo d’écrivains avec Per Wahlöö, son mari. Alors qu’ils viennent de publier en Suède un nouveau livre, Glaskroppar, plus dur encore que la trilogie Bergman, nous les avons interrogés avant leur venue à la Comédie du livre de Montpellier.

Comment avez-vous commencé à travailler ensemble ?

Hakan Axlander Sundquist En 2008, Jerker et moi avons divorcé à peu près en même temps, par hasard. On est tombé un peu en dépression, et on a eu envie de faire quelque chose de nouveau. Sans entrer dans les détails de nos vies personnelles, l’histoire de Victoria Bergman, sa violence, nous étaient familières. J’ai commencé à écrire une quarantaine de pages, comme un synopsis, puis Jerk...

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